Pour conjuguer cet aspect urbain et la proximité voulue avec la nature, les voies de circulation sont hiérarchisées afin de permettre plusieurs modes de déplacement et de palier à la prépondérance de la voiture. On passe ainsi du boulevard à la venelle piétonne en empruntant des placettes et des impasses qui favorisent l'imbrication des espaces plantés publics et privés.
L'organisation du hameau mais également des habitations en elles-mêmes témoignent de cette volonté d'imbrication bâti/nature. Les différentes combinaisons mise en oeuvre dans l'habitat, à savoir maisons à patio, maisons hollandaises et petits collectifs permettent différentes liaisons avec l'extérieur, permettant intimité, interpénétration des espaces extérieurs et intérieurs et ensoleillement des logements.
Au hameau du château, Jean-Pierre Watel veut expérimenter l'habitat «individuel groupé» qui sera également nommé «collectif horizontal».
Pour conjuguer cet aspect urbain et la proximité voulue avec la nature, les voies de circulation sont hiérarchisées afin de permettre plusieurs modes de déplacement et de palier à la prépondérance de la voiture. On passe ainsi du boulevard à la venelle piétonne en empruntant des placettes et des impasses qui favorisent l'imbrication des espaces plantés publics et privés.
L'organisation du hameau mais également des habitations en elles-mêmes témoignent de cette volonté d'imbrication bâti/nature. Les différentes combinaisons mise en oeuvre dans l'habitat, à savoir maisons à patio, maisons hollandaises et petits collectifs permettent différentes liaisons avec l'extérieur, permettant intimité, interpénétration des espaces extérieurs et intérieurs et ensoleillement des logements.
© CAUE du Nord
