Welcome réfugiés : l'espace en construction est bien vide, brut de décoffrage comme on dit

Il s'agit d'un point de dépôt sauvage d'ordures et d'encombrant au pied d'une oeuvre emblématique du quartier et sous la surveillance d'un photographe de street art qui depuis est bien déchiré. La caméra en début de rue ne couvre pas ce champ. C'est choquant car les hab...

la répétition des lignes , surprenant par le nombre de lignes qui se croisent, traversent le paysage. Mon regard a été tout d'abord attiré par ces toilettes positionnés contre le pont, puis par leurs formes qui entraient dans le paysage puis par le fait qu'elles dispara...

La multitude de bateaux en tous genre qui viennent faire demi-tour au pied de la statue de la Liberté au bout de l'île aux Cygnes... on ne peut pas faire plus touristique. Assise au bord de l'eau avec mon mari, nous contemplons le ciel d'une pureté absolue, la lune qui...

Le cliché de 2022 représente le Street workout qui n’était pas prévu par l’Atelier Corajoud qui a conçu les Jardins d’Eole (la photo de référence de 2011 montre des jeux d’enfants). Au fond à droite on aperçoit une zone clôturée où se développent des graminées, en cohér...

Conçus par Michel Corajoud en 2007, les Jardins d'Éole, situés à proximité de voies routières et de voies ferrées sont une halte de verdure appréciée et une liaison entre les 18e et 19e arrondissements. Le site servait de dépôt pour les trains et les marchandises à dest...

Le cliché représente ce qu'est devenu le "Jardin de graviers" conçu par Michel Corajoud, « un jardin dont le sol serait commun aux plantes et aux hommes où l'apport mesuré en eau en conditionnerait totalement ces différents aspects » (ATELIER CORAJOUD, 2010, Extrait du ...

Une allée d'eau à Paris qui montre en cette soirée ensoleillée toute l'attraction pour les habitants alentours pour se ressourcer après une journée de travail. C'est quasiment irrésistible

C'est toujours surprenant la navigation dans Paris. C'est le retour au port de l'arsenal que les locataires ont l'obligation de quitter un mois par an. La péniche donne l'impression de pouvoir s'engouffrer dans la rue Bichat

La gare de l'est est une invitation au voyage et c'est ludique. L'ironie ce sont les palmiers qui vous trompent sur la destination. éléments de contexte : derrière un groupe de joueurs de cartes africains très bruyant vous rappelle Abidjan. Le catalpa a des airs d'anaca...

La ville c'est du plein et des creux. Les trompes l'oeil et fausses façades participent à ce jeu qui régale l'oeil. Par rapport à la fonction de logement c'est marginal mais l'esthétique l'est par nature et est finalement essentielle c'est l'ironie de l'histoire

Passage du désir comme son nom l'indique est une voie à l'écart, un peu cachée où on a peur de déranger de s'inviter. Quelques signes de vie d'appropriation : vélo et pots de fleurs tendent à dire que c'est privé. C'est l'aspect souterrain de la ville