Le chantier d’extension de l’usine hydroélectrique de la Rivière-de-l’Est n’est pas sans conséquence : il demande la destruction d’une part de l’environnement naturel. Une compensation écologique est alors mise en place. Elle se traduit par la plantation de 21 700 espèces végétales endémiques et indigènes.

Ce projet de restauration devient alors un outil pédagogique pour sensibiliser les enfants sur la place de l’arbre. Les élèves de l’école Alix Elma ont pu suivre et participer à l’élaboration des plants, de la graine jusqu’à la plantation en terre, et découvrir d’autres merveilles sur les arbres.

(autorisation de présenter l'article donnée au CAUE par la rédaction en avril 2020)