L’industrie se concentre principalement le long des axes ferroviaires et fluviaux. Pollués, dégradés ou abandonnés, ces sites sont souvent discrédités puis détruits alors qu’ils auraient pu être support de nouveaux projets.
L’appropriation de ces paysages impose un changement de regard qui passe par le ré-investissement des sites, des constructions, des voies, etc, au profit de nouveaux usages, qu’ils soient culturels, de loisirs ou économiques. Le long de pistes cyclables, la nature reprend alors sa place, servant d’écrin à de nouveaux lieux de vie.