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Tout effacerle reflet du ciel nuageux dans les vitres de l'immeuble donne une impression de transparence, le sol rayé nous conduit vers la tour, tout en nous rappelant les bruits de la rue qui étaient masqués jusque là.
Le petit chez soi miniature du SDF du coin sur la dalle gigantesque des olympiades
La circulation sur la partie inférieure de la dalle procure un sentiment d'écrasement et d'étouffement
La fresque du lézard est attachante. Le lézard est à la dimension de la dalle mais son "sourire" est attachant
Dans cet univers de béton, le jardin partagé de la dalle apporte un peu d'humanité ce qui est ressourçant
Cette grand esplanade dallée écrasée par le soleil n'incite pas au stationnement. Elle reste vide.
La barrière pour sortir du réseau de rues souterraines, coiffé par la dalle marque le caractère ennuyeux de cette situation qui sépare la dalle du reste de la ville.
Dalle des Olympiades partie supérieure
L'architecture d'une certaine époque, désuète et touchante à la fois.
Du soleil, de la couleur, des tours, des arbres, du béton... un paysage qui vieillit tant bien que mal.
En déambulant sur la partie centrale de la dalle des Olympiades, on rencontre des habitants, des enfants qui jouent, des commerces, de la vie. Mais un détour à gauche ou à droite, et l'on tombe sur des façades presque aveugles, aux rideaux de fer abaissés. On devine tou...
Les dents de la villePhotographie réalisée lors de la journée "Les Enfants du Patrimoine 2022"