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Ces arbres sont remarquables du fait de leur utilisation passée dans la soierie. Ils sont les derniers vestiges de cette industrie

Il est plus fréquent de trouver ce type d'essence dans un parc davantage que dans un pré, de surcroit totalement isolé. Vu sa forme, il pourrait être surnommé l'arbre des amoureux.

Ce chemin creux est bordé de chênes centenaires, non taillés depuis des décennies. Ils présentent un fût massif à partir duquel parte des branches rectilignes.

Vestige d'une allée de mûriers, ces arbres sont remarquables du fait de leur utilisation passée dans la soierie. Ils sont les derniers témoins de cette industrie autrefois florissante dans la région.

Malgré le peu de place, ce hêtre majestueux et ce marronnier ont su s'adapter à cet environnement pour ne former bientôt plus qu'un à la base. Les deux se sont mariés et sont en train de se souder.

La proximité d'un hêtre n'a certainement pas permis à ce charme de croître verticalement. Il se développe à l'horizontale sur plus de 16m.

Ce colosse végétal domine le village. Selon la légende, cet arbre aurait été planté en 1515

Ce guide propose un mode d'emploi pas-à-pas pour réaliser une équerre isocèle et mesurer un arbre.