À sa fermeture en 2002, la teinturerie Roussel-Desrousseaux se présentait comme un ensemble très hétérogène d’édifices d’époques et de constructions différentes, saturant la quasi intégralité d’un îlot. Bureaux, ateliers, entrepôts, chaufferie et fonderie – sorte d’atelier de réparation des machines – formaient un véritable labyrinthe. Repris par un groupement d’investisseurs, le site est destiné à être morcelé, aéré par des démolitions ponctuelles favorisant un renouvellement des usages s’appuyant sur les capacités des parties maintenues.
© Métamorphoses, Agence de développement et d'urbanisme de Lille Métropole