Le regard sur la banalité est, paradoxalement, le plus subjectif qui soit. En quoi ce paysage me paraît-il banal plutôt que tel autre ? Qui sera d’accord avec moi pour le définir ainsi ? Alors après tout, ce carrefour entre trois rues, ces immeubles, ce café qui fait l’angle et les arbres bordant le boulevard Exelmans, disons qu’ils sont banals !