L’essentiel a été sauvegardé dans la réserve naturelle de l’étang Saint-Paul. Deux hectares ont été touchés mais sans dégâts majeurs sur la végétation que la faune, les oiseaux notamment, a su fuir à temps.
L’essentiel a été sauvegardé dans la réserve naturelle de l’étang Saint-Paul. Deux hectares ont été touchés mais sans dégâts majeurs sur la végétation que la faune, les oiseaux notamment, a su fuir à temps.