Abattage d’arbres séculaires ou communs, mobilisations pour des animaux « totem », le syndrome Idéfix, raccourci pour désigner la défense de l’environnement, gagne du terrain auprès de groupes et communautés prompts à se mobiliser. Un phénomène social plus complexe qu’il n’y paraît, qui renvoie à notre propre fragilité. Arnold Jacoud, psychosociologue réunionnais, apporte un éclairage professionnel et personnel sur ces prises de position plus ou moins radicales.
(autorisation de présenter l'article donnée au CAUE par la rédaction en mars 2021)