Cette étude, réalisée par Marlène Ferron, architecte, présente les grands types de peintures classées en deux familles : Les peintures issues de la pétrochimie (glycérophtaliques, acryliques et siloxanes) et les peintures d'origine bio-sourcée ou minérale.
Nous passons 80% de notre temps à l'intérieur de bâtiments clos, chauffés ou climatisés. La notion de Qualité de l'Air Intérieur (QAI) est de mieux en mieux prise en compte et une réglementation adaptée se met en place. La pollution de l'air dans nos bâtiments a des conséquences sur notre santé. On dénombre 3000 décès par an dûs à la mauvaise QAI. 15% des cas de grippe et 8 à 25% des symptômes allergisants pourraient être diminués si l'on prêtait attention à l'empreinte écologique sanitaire du bâtiment.
Ainsi, la pollution liée au cadre bâti représente un coût humain qui pourrait être diminué si l'on utilisait les produits les plus sains.
La peinture est un matériau de construction ayant un impact fort sur la qualité de l'air intérieur. Peu de peintres professionnels ou amateurs sont conscients des conséquences sur la santé humaine. Les risques existent encore aujourd'hui.
Selon sa composition, les polluants contenus dans la peinture ont des effets nocifs très différents. A cours terme, ils peuvent être irritants ou provoquer des troubles digestifs. Des inhalations à faibles doses, mais répétées et prolongées, peuvent provoquer des maladies respiratoires, causer des allergies ou être déclencheurs d'asthme. Ainsi, les peintres qui subissent des expositions prolongées doivent être particulièrement vigilants. Les jeunes enfants sont également beaucoup plus vulnérables. Certains produits nocifs sont plus lourds que l'air et se concentrent près du sol. De plus leurs poumons en plein développement sont plus sensibles aux polluants...
Nous passons 80% de notre temps à l'intérieur de bâtiments clos, chauffés ou climatisés. La notion de Qualité de l'Air Intérieur (QAI) est de mieux en mieux prise en compte et une réglementation adaptée se met en place. La pollution de l'air dans nos bâtiments a des conséquences sur notre santé. On dénombre 3000 décès par an dûs à la mauvaise QAI. 15% des cas de grippe et 8 à 25% des symptômes allergisants pourraient être diminués si l'on prêtait attention à l'empreinte écologique sanitaire du bâtiment.
Ainsi, la pollution liée au cadre bâti représente un coût humain qui pourrait être diminué si l'on utilisait les produits les plus sains.
La peinture est un matériau de construction ayant un impact fort sur la qualité de l'air intérieur. Peu de peintres professionnels ou amateurs sont conscients des conséquences sur la santé humaine. Les risques existent encore aujourd'hui.
Selon sa composition, les polluants contenus dans la peinture ont des effets nocifs très différents. A cours terme, ils peuvent être irritants ou provoquer des troubles digestifs. Des inhalations à faibles doses, mais répétées et prolongées, peuvent provoquer des maladies respiratoires, causer des allergies ou être déclencheurs d'asthme. Ainsi, les peintres qui subissent des expositions prolongées doivent être particulièrement vigilants. Les jeunes enfants sont également beaucoup plus vulnérables. Certains produits nocifs sont plus lourds que l'air et se concentrent près du sol. De plus leurs poumons en plein développement sont plus sensibles aux polluants...