Les études sociologiques de terrain montrent que les rénovations globales qu’il faut massifier pour atteindre les objectifs d’un parc performant à l’horizon 2050, comportent assez systématiquement des modifications architecturales profondes : réaménagement, restructuration, voire agrandissement…
Cela conduit à dire que le marché de la rénovation énergétique n’existe pas stricto sensu, et à inverser le paradigme : il faut « embarquer » systématiquement des objectifs ambitieux de performance énergétique, à l’occasion des rénovations.