Anciennement présentes en abondance sur les flancs de la falaise morte, les landes climatiques littorales ont été presque entièrement détruites. On aperçoit encore quelque vieux fourrés à pruneliers (vallon), quelques landes à ajonc d'Europe et genêt à balai structurant le paysage, des ilots forestiers sur les pentes rocheuses les plus fortes à chêne pédonculé et orme, petit houx et fougères. Dans le talweg littoral, les vieux peupliers noirs taillés en têtard rappellent l'utilisation ancestrale des ressources naturelles.