Une carte sans frontières / Een grenzeloze kaart

(FR) UNE CARTE SANS FRONTIERES

La première carte "sans frontières" partage une représentation pédagogique de la géographie. Elle sert de support aux observations des habitants et techniciens, de part et d'autre des frontières.

La première carte montre aux habitants et aux élus le relief et les grandes zones sensibles à l'eau. Le paysage, les infrastructures et les réseaux de villes se poursuivent au-delà des frontières et à toutes les échelles de référence. Nous utilisons « Open Street Map », une donnée internationale, collaborative en perpétuelle amélioration par des milliers de bénévoles, dans le monde, afin de libérer la coopération transfrontalière des contraintes cartographiques habituelles, sans limite de temps.


(NL) EEN GRENZELOZE KAART

De eerste 'grenzeloze' kaart is een educatieve weergave van de geografische ruimte. Ze dient als ondergrond voor de waarnemingen van inwoners en ambtenaren aan weerskanten van de grens.

De eerste kaart laat aan inwoners en politici het reliëf en de grote watergevoelige zones zien. Het landschap, de infrastructuren en de dorpsnetwerken gaan over de grenzen heen en dit op alle referentieniveaus. We gebruiken ‘Open Street Map', een internationale database waar iedereen aan mee kan werken en die continu verbeterd wordt door duizenden vrijwilligers in de hele wereld. Daardoor kan de grensoverschrijdende samenwerking loskomen van de gebruikelijke beperkingen van het kaartmateriaal, en dit zonder tijdslimiet.


POUR ALLER PLUS LOIN / MEER INFO

Le projet PARTONS 2.0 expérimente la possibilité de conduire des démarches impliquant durablement les habitants dans la question de l'aménagement et des services au public, au-delà des frontières administratives ou nationales. Il était indispensable de travailler sur des cartes "mondiales", sans limites administratives. Les coopérations transfrontalières successives avaient en effet montré les limites des outils cartographiques professionnels et des données nationales:

  • impossible d'utiliser les informations au-delà de la fin du projet de coopération,
  • de gros problèmes d'ajustement des données entre les pays, dit « effet frontière »,

Nous avons choisis d'utiliser « Open Street Map », une donnée "sans frontières", libre de droits (open source ou open data) et en perpétuelle évolution par des contributeurs bénévoles, dans le monde.

La donnée dite libre permet de supprimer les limites d'utilisation au-delà de la fin du projet de coopération. Le choix d'une donnée collaborative internationale permet de réduire l'effet frontière tout en profitant d'une donnée automatiquement mise à jour.

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