Le cliché représente ce qu'est devenu le "Jardin de graviers" conçu par Michel Corajoud, « un jardin dont le sol serait commun aux plantes et aux hommes où l'apport mesuré en eau en conditionnerait totalement ces différents aspects » (ATELIER CORAJOUD, 2010, Extrait du dossier Avant-Projet, Projet du jardin d'Eole, Cour du Maroc). Le gravier a été remplacé par une aire de jeu entouré d’une clôture. Les plantes rudérales voulues par le paysagiste ont été remplacées par une pelouse, révélant les préoccupations d’entretien. Si les bâtiments à l’arrière-plan n’ont pas changé, en 12 ans les arbres ont poussé.