De la transformation d'un entrepôt de sucre, au cµur de la confluence lyonnaise, en lieu culturel et événementiel générateur de centralité.
Au XVIIème siècle, la Confluence n'existait pas, il y avait à la place un bras d'eau. Aujourd'hui, le front bâti s'arrête à la fin de la Confluence. L'aménagement du quartier des Docks a permis de lancer la Confluence.
À la fin des années 1990, la Sucrière se grisaille et s'étiole au bord de la Saône où les bateaux de commerce n'accostent plus. Aujourd'hui, pour Jean-Paul Viossat, « la Sucrière est garante de la vocation du site ». Cette phrase n'est pas une formule, c'est un leitmotiv, un principe, un guide.