Arbre isolé présent dans le parc du logis de la Noue
Arbre isolé présent dans le parc du logis de la Noue
Tronc unique sur 8 mètres puis 3 axes verticaux
Pas de contreforts
Charpentières très étalées sur 15 mètres
Présentation du « Logis de la Noue », sur la page Wikipédia de la commune de Vendrennes :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vendrennes
Au XVIIIème siècle, les archives signalent la présence à La Noue du « noble homme Jacques Louis Boisson, sieur de l'Humeau et de la Noue, de son épouse M.A. Fumoleau et leurs trois garçons. » Cette famille Boisson aménage les parties droite et centrale de l'ancien logis au début du XIXème siècle. Elle vend La Noue en 1891 à Benjamin Boisdé, notaire au Boupère. Une de ses filles, Marie Josèphe, épouse en 1906 Léopold Robert, dit Jean Yole, médecin à Soullans. Ils s'installent à La Noue en 1924 où ils bâtissent l'aile gauche de la demeure. L'intérieur du logis de la Noue a conservé l'ensemble de son décor de la fin du XIXème siècle. Dans la grande cuisine, la cheminée et son tournebroche, la massive table de chêne, les ustensiles de cuivre suspendus à un potager couvert de céramiques conservaient l'authenticité des lieux. Le cabinet d'écriture de Jean Yole est resté inchangé depuis sa mort en 1956. À l'image des propriétés bourgeoises du XIXe siècle, les dépendances s'organisent à La Noue autour d'une vaste cour carrée. Chai et pressoir, écurie, sellerie, fruitier, bûcher, buanderie, garage, four, témoignent que l'on vit ici à la campagne. En 2014, la famille de Jean Yole céda le logis et le parc après avoir vendu aux enchères l'entièreté de tous ses meubles et souvenirs liés à Jean Yole.
le chêne a subi 3 grosses casses de charpentières l’été 2022, certainement dû à des chocs hydriques (sécheresses).
Entretien connu : taille sanitaire (bois mort > 5cm) les 3 et 4 avril 2023.
L’arbre est la pièce principale d’un parc arboré autour du Logis de La Noue.
L’âge de l’arbre est estimé entre 300 et 400 ans par rapport à des sujets aux caractéristiques identiques et connus à proximité (Les Achards) ainsi qu’à l’existence du Logis de la Noue au XVIIIème siècle.
Pas de menace future sauf les étés caniculaires.