Dans les années 1950, le grand-père de l’actuel propriétaire a souhaité préserver ce chêne pédonculé ainsi que 2 autres tant ils étaient beaux. Recherchant un financement pour couvrir un bâtiment, il avait engagé quelques abattages. Ces trois arbres dessinent la ligne de rupture de pente avec le creux du vallon du Vaugoude. Ils sont à fleur du socle rocheux.