J’ai été interpellée par la superposition et la cohabitation des siècles en un espace assez restreint : l’ancienne sous-station électrique de 1908 encadrée par des immeubles hausmanniens de la seconde moitié du XIXe, les boîtes à lettres du XXe siècle dont se sont emparés les graffeurs du XXIe siècle. On peut voir ces éléments comme des signes de progrès et de marqueurs de temps.
Et Paris continue d’ évoluer : vélos et piétons se réapproprient l’espace et les grilles des pieds d’arbres laissent place à des encadrements végétalisés. Vers quoi évoluera la station électrique ?