L’ambition d’une gestion écologique passe nécessairement par la formation, moteur du changement des pratiques. En effet, le passage d’une gestion horticole invariable et systématisée sur tous les espaces à une gestion écologique qui s’adapte à la diversité des milieux, nécessite à la fois l’acquisition de compétences nouvelles (ex : suivi de la biodiversité) et une maîtrise plus fine de compétences existantes (ex : taille respectueuse des équilibres naturels). Au-delà du jardinier, acteur principal de ces changements, ce sont également tous les acteurs qui doivent se mobiliser dans ce projet. Cette partie aborde les moyens de formation pour y parvenir. Pour cela, il convient de :
· Réaliser un plan de formation intégrant des thématiques en rapport avec l’écologie et l’actualiser régulièrement (tous les 3 à 5 ans)
· Fédérer les acteurs (jardinier, chef d’équipe, directeur, élu...) autour d’un projet commun
· Mettre en œuvre une démarche d’amélioration continue