A la fin de la promenade photographique dans le quartier de l'Opéra, en raison de la pluie battante, nous nous sommes réfugiés dans la gare Saint Lazare où s'achevait notre circuit.
Près de la porte d'entrée, j'entendais le martellement de la pluie sur le sol et j'observais les gens sortant du métro et des autobus, courant vers la gare, sous leur parapluie, pour rentrer chez eux.
C'est leur quotidien et, ce jour-là, ils devaient composer avec une pluie diluvienne.
Il en était de même pour cette jeune femme qui, l'espace d'un instant, est venue éclairer de son parapluie rouge le paysage gris, bouché par cette violente averse.