Depuis 1963, le boulevard Exelmans, bordé d’immeubles résidentiels, comporte six voies réservées à la circulation. Soixante ans plus tard, notre vision du paysage a évolué. L’autoroute urbaine occupant l’essentiel du champ de vision nous choque. Tout comme la rue Boileau, qu’on aperçoit sur les côtés de l’image, coupée en deux, que les passants ne peuvent parcourir qu’au prix d’un large détour.