Depuis plusieurs années, on constate une augmentation de la température en ville et une diminution du taux d’humidité (fortes sécheresses des périodes estivales). Les toitures offrent des surfaces importantes dans le paysage urbain. Il s’agit de surfaces imperméables nombreuses, inutilisées, qui ne permettent pas la rétention de l’eau. De nombreuses expériences conduites en Europe ont montré que pour des objectifs esthétiques ou de durabilité, l’aménagement d’un toit végétal se révélait intéressant.
Du fait du réchauffement excessif de l’air par les toitures et l’asphalte (imperméabilisation des sols), les villes sont toujours plus chaudes et plus polluées que les campagnes. La multiplication des toitures vertes a une répercussion écologique indéniable pour les villes.