La gare à Lille est analysée comme un objet, prétexte à une recherche sur la lecture urbaine et ses différents niveaux d'approche morphologique. L'outil méthodologique est la rue, définie comme lieu de matérialisation des effets de la structure urbaine sur le bâti. L'histoire et la description du quartier de la gare empruntent aux méthodes classiques de l'analyse urbaine, en même temps qu'elles mettent en jeu, dessins, photos, textes, en une série de dérivés ou s'exprime l'imaginaire des intervenants.