A la demande de l'atelier transfrontalier de Lille métropole franco-belge, Philippe Thomas, paysagiste, réalise un portrait du paysage transfrontalier. Il suit une démarche d'abord subjective (nourrie de visites sur le terrain et de matériaux picturaux et littéraires), et ensuite objective (basée sur des travaux cartographiques). Il identifie un potentiel d'identité et trouve les bases d'une complicité ou connivence de perception.
Après avoir indiqué et caractérisé une douzaine de territoires plus locaux, Philippe Thomas avance une hypothèse de lecture globale du paysage avec une trame et des motifs.